
Le vacarme numérique et le murmure divin
Marc
Jamais l’humanité n’a été aussi connectée, et pourtant si déconnectée...
En 2025, des études montrent que le temps moyen passé sur les écrans, en particulier les téléphones, par les Français dépasse 4h30 par jour hors travail, soit plus de 30% du temps d’éveil!
Cet excès d’écran est responsable, notamment chez les plus jeunes, de troubles visuels, de troubles posturaux, de retard de développement, de fatigue et d’isolement. Auparavant, j’entendais les patients discuter de tout et de rien en salle d’attente. Désormais, ils sont tous passifs sur leurs chaises, penchés sur leurs smartphones en faisant défiler des vidéos, des «shorts» par centaines, sans se rendre compte de ce qui les entoure, parfois en faisant profiter tout le monde des musiques et des bruits de ce qu’ils regardent.
Ce bruit du monde numérique nous empêche souvent d’entendre la voix de Dieu.
Le bruit n’est pas seulement sonore. Il est aussi mental, émotionnel, spirituel.

La vraie liberté
Guido
Au cours de l’été 2025, j’ai eu l’occasion de lire l’ouvrage d’Adrien Candiard, dominicain vivant au couvent du Caire, intitulé «À Philémon, réflexions sur la liberté chrétienne». Cet ouvrage, qui m’a été prêté par une sœur de l’église, a reçu le prix de la liberté intérieure en 2019. Il aborde des sujets majeurs de l’évangile de Jésus-Christ, notamment la libération acquise en Christ.
Un esclave en fuite découvre la vraie liberté
Le livre du Nouveau Testament dédié à la liberté chrétienne est sans aucun doute la lettre de l’apôtre Paul à Philémon, où il lui recommande d’assurer un accueil fraternel à l’esclave qui s’était enfui de sa maison. Elle se situe au début des années cinquante du 1er siècle de notre ère.

Des vacanciers en mission !
Soungalo Zagré
Dans quelques jours débuteront les vacances d’été, au cours desquelles des millions de personnes vont sillonner les quatre coins de la France et d’Europe. Faisant souvent partie de ces vacanciers, les chrétiens, comme moi, sont souvent interpelés par la Parole de Dieu.
Trois versets me reviennent souvent à l’esprit surtout lors des petits déjeuners ou des repas à l’hôtel ou ailleurs, lorsque j’observe ce qui se passe autour de moi.
Le premier est...

Jésus fait le pont
Alain
Le mois de mai est le mois des « ponts ». Le pont du 1er Mai, le pont du 8 Mai, le pont de l’Ascension, désignent ces jours de congés que l’on prend entre ces jours fériés et un week-end, créant ainsi une bonne suite de 3 à 5 jours pour se reposer, voyager voire faire des travaux.
Notre Seigneur Jésus aussi fait le pont mais, pour Lui, pas question de congés. Heureusement pour nous, Il veille sans cesse sur nous, à l’image de Son Père:

Santé et prospérité
(3ème épître de Jean)
Alain
Dans sa troisième épitre adressée à un certain Gaïus, l’apôtre Jean souhaite à ce dernier la prospérité en toutes choses en plus d’une bonne santé, comme nous avons encore coutume de le faire au début d’une nouvelle année. Il souligne aussi la prospérité de son âme, à prendre en exemple.
Le dictionnaire (Le Robert) donne ces deux définitions à la prospérité :
- 1. Bonne santé, situation favorable (d'une personne);
- 2. État d'abondance; augmentation des richesses (d'une collectivité); heureux développement (d'une production, d'une entreprise).

Un homme selon le cœur de Dieu
Guido
Dans le groupe d’études bibliques de Nancy centre, nous parcourons actuellement les étapes de la vie de David, homme selon le cœur de Dieu (Actes 13:32). Nous cherchons à comprendre comment Dieu l’a conduit à travers toutes sortes de situations de vie, qui allaient des plus gratifiantes (onction par le prophète Samuel, victoires militaires, royauté…) aux plus douloureuses (fuites, ruptures, guerres…).
Revenons aux toutes premières étapes de sa "carrière", de l’onction par le prophète Samuel à la victoire éclatante sur le géant Goliath et l’armée des
philistins (1 Samuel 16 et 17).

Le parfum de Dieu
Jonathan
Récemment, j'ai eu la chance de découvrir la ville de Grasse, "capitale mondiale des parfums". Au programme: visite guidée de l'une des grandes maisons de parfumerie. Cette visite a été très instructive au plan culturel, mais pas seulement: le thème de la parfumerie rappelle des passages bibliques, et peut même nous lancer des défis pour notre vie chrétienne!
Une odeur de vie ou une odeur de mort?
Au XVIIè siècle, Grasse est une ville de tannerie. Mais, comme fabriquer le cuir produisait des odeurs écœurantes et que la mode italienne était alors de porter des gants parfumés, les artisans grassois ont progressivement développé des techniques de parfumerie. La ville en a fait sa renommée, et les odeurs de mort (les peaux en décomposition) ont été remplacées par des odeurs de vie (les fleurs, les fruits, les arbres). Quel contraste! Cela ne vous fait-il penser à un verset de la Bible ?